Pfizer : Courrier de faits techniques rédigé, en réponse à une tentative d'obligation vaccinale.
Fait par Le Constatiste pour la communautéJanuary 24, 2021
_______________________________________ TELEGRAM : ⛔️ STOP Masques Vaccins ⛔️ https://t.me/STOP_Masques_Vaccins_National _______________________________________ Partie 1 : Résumé du courrier pour réponse orale. Partie 2 : Le courrier À vous de faire l'intro et la conclusion (genre pour toutes ces raisons, bla bla bla etc...) 😁Partie 1 : Le vaccin COVID-19 de Pfizer (BNT162b2) à ARNm, un type de biotechnologie complètement nouveau. L'ARNm est instable et recouvert polyéthylène glycol un produit chimique à base de pétrole. Durée de l'immunité est inconnue, en raison de données limitées et études non achevées. Testé sur son efficacité et non son innocuité. Peut provoquer une maladie plus grave lors d'une exposition ultérieure au virus sauvage. Lors de précédents essais, échec en raison des nombreux effets secondaires observés lors des études sur les animaux, morts ou sont devenus très malades. Lors des essais humains aucun test sanguin n'est effectué pour évaluer l'impact potentiel sur les organes internes ou d'autres aspects de la santé. L'étude phase 3 ne se termine pas avant janvier 2023 donc encore expérimental. Efficacité à 95 % remis en cause par Peter Doshi rédacteur en chef adjoint de The British Medical Journal (BMJ) selon lui 19 à 29 %. Calcul d'efficacité est basé sur seulement 181 des 43 548 participants. On ne sait pas s'il sauve des vies, réduit les cas graves, empêche la transmission et quel est son impact sur la santé et les organes. Pas testé pour les femmes enceintes, enfants de moins de 12 ans, suicidaires,précédemment infectés. Pas d'informations publiées sur les effets secondaires tardifs. Déjà plusieurs cas d'allergie sévère suite à la vaccination ont été signalés. Déconseillé aux personnes ayant une allergie à un vaccin, un médicament ou un aliment. La possibilité de modification génétique par transcriptase inverse, les essais excluant spécifiquement l'analyse génétique. Possibilité de réaction croisée des anticorps avec la syncytine-1, ce qui pourrait affecter fertilité. L'instabilité de l'ARN qignifie qu'il doit être préparé et administré uniquement par un membre du personnel dûment qualifié et expérimenté. Ne doit pas être mélanger avec les autres vaccins Covid-19. Partie 2 : Le vaccin COVID-19 de Pfizer (BNT162b2), maintenant appelé Comirnaty, est la première production COMMERCIAL d'un vaccin à ARNm, un type de biotechnologie complètement nouveau. Il ne fonctionne pas de la même manière que les vaccins classiques. L'ARNm synthétique utilisé est instable, il est donc conditionné à l'intérieur de nanoparticules de lipides PEGylées qui sont de minuscules particules de lipides recouvertes de PEG (polyéthylène glycol = produit chimique à base de pétrole). Les nanoparticules protègent l'ARNm et lui permettent de pénétrer dans les cellules de l'organisme après la vaccination. Lorsque l'ARNm pénètre dans une cellule, il utilise la machinerie cellulaire, fournissant des instructions à la cellule pour produire des protéines de pointe du coronavirus (protéine Spike), qui sont libérées dans le sang. Le système immunitaire reconnaît ces protéines comme étrangères et produit des anticorps contre elles, censés fournir une immunité contre une future infection par le CoV-2. Deux doses sont nécessaires. La durée de l'immunité est inconnue, en raison de données limitées, car les études n'ont pas encore été achevées. On pense que l'immunité dure au moins 2 mois. Des vaccins à ARNm ont déjà été essayés pour d'autres coronavirus, par exemple le MERS et le SRAS ; mais ils ont échoué en raison des nombreux effets secondaires observés lors des études sur les animaux. Les essais sur les vaccins à ARNm pour d'autres coronavirus ont entraîné de graves effets secondaires, dus à un phénomène appelé "facilitation de l'infection par des anticorps"(Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais). Ce phénomène se produit lorsque les anticorps induits par le vaccin provoquent paradoxalement une maladie plus grave avec exposition ultérieure au virus sauvage. De nombreux animaux concernés sont morts ou sont devenus très malades et les essais sur l'homme n'ont pas eu lieu. Aucune étude de sécurité sur les animaux n'a été publiée pour ce vaccin. Il a été testé sur des souris et des singes macaques pour établir uniquement son efficacité et non son innocuité. (Pfizer a rapporté une brève étude de sécurité sur les rats sans qu'aucun événement systémique n'ait été identifié, mais cette étude n'est pas accessible au public.) Dans son études d'efficacité, les souris et les macaques ont développé des anticorps contre le CoV-2 du SRAS après l'immunisation. Après la vaccination, lorsqu'ils ont été délibérément exposés au CoV-2, tous les singes macaques présentaient des signes d'infection par le CoV-2 dans le nez et les voies respiratoires. Aucun des singes, qu'ils soient vaccinés ou sous placebo, n'a présenté de symptômes. Les animaux qui ont reçu le vaccin ont eu des signes de CoV-2 dans le nez pendant 1 jour, tandis que ceux qui ont reçu le placebo ont eu le SRAS-CoV-2 sur des écouvillons nasaux les jours 1, 3 et 6 après l'exposition. Comme aucun animal de ces deux groupes n'a développé de symptômes, nous ne pouvons pas déduire si le vaccin réduirait les symptômes chez l'homme. Aucune évaluation de la transmission n'a été effectuée. Au cours des essais humains de phase 1 et 2, 204 personnes ont reçu 2 doses du vaccin BNT162b2 (d'autres ont reçu un placebo ou un vaccin alternatif potentiel). Les participants ont fourni un journal quotidien, avec une liste des effets secondaires, pendant 7 jours après avoir reçu le vaccin. Certains ont fait état de maux de tête, de douleurs musculaires et articulaires invalidantes qui les empêchaient d'accomplir les tâches quotidiennes les plus élémentaires. Le nombre de lymphocytes a été contrôlé chez les 24 personnes qui ont reçu le vaccin au cours de la phase 1, sinon aucun test sanguin n'est effectué pour évaluer l'impact potentiel sur les organes internes ou d'autres aspects de la santé. L'efficacité de la phase 2 sera mesurée pendant 24 mois, tandis que la sécurité sera surveillée pendant 6 mois. En phase 3, 43 538 personnes avaient été inscrites à l'essai au début du mois de décembre 2020. L'étude ne se termine pas avant janvier 2023. Les personnes qui prennent le vaccin doivent savoir qu'il est encore essentiellement expérimental. Concernant l'efficacité, Pfizer a publié un communiqué de presse indiquant que le vaccin est efficace à 95 %. Ce calcul d'efficacité est basé sur seulement 181 des 43 548 participants. Sur les 43 548 participants à l'essai, seules 181 personnes ont eu des cas confirmés d'infection symptomatique par le COVID-19 (1 ou plusieurs symptômes plus un résultat positif de PCR au moins 7 jours après la deuxième dose de vaccin). Sur les 181 "cas", 95% se trouvaient dans le groupe placebo et 5% dans le groupe vacciné. Plusieurs autres participants ont développé COVID-19, mais ont été exclus de l'analyse en raison du moment où leurs symptômes se sont manifestés. Sur les 43 548 personnes participant à cette étude, seules les 8 183 premières personnes ont également rempli le journal électronique des effets secondaires locaux et systémiques. La moitié de ce groupe a reçu le vaccin, l'autre moitié un placebo ; par conséquent, le rapport sur la sécurité est basé sur environ 4 000 personnes ayant reçu le vaccin dans cette partie de l'essai. D'où la remise en cause des 95 % par Peter Doshi rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal (BMJ) qui lui trouve une efficacité entre 19 et 29 %. Les effets secondaires les plus fréquemment signalés sont : - Douleurs au point d'injection 11,2 % - Douleurs articulaires 1,1 % - Fièvre 6,1 % - Glandes enflées (cou et aisselles) 0,3 % - Fatigue 5,5% - Maux de tête 5,1 % - Douleurs musculaires 4,8 % - Paralysie faciale signalée par 4 participants dans le groupe vaccin. Les essais n'ont pas évalué et nous ne peuvent pas répondre : - Le vaccin sauve-t-il des vies ? (personne n'est mort du COVID-19 dans les essais, que ce soit dans le groupe placebo ou dans le groupe vaccin) - Le vaccin réduit-il le développement de COVID-19 graves (3 cas de COVID graves ont été signalés dans le groupe placebo et 1 dans le groupe vaccin - ces chiffres sont trop faibles pour répondre à la question) - Le vaccin empêche-t-il la transmission ? - Le vaccin a-t-il un impact sur la santé du sang ou des organes ? Les groupes suivants ont été exclus des essais car il n'existe aucune donnée sur la sécurité et l'efficacité du vaccin dans ces groupes : - Toute personne considérée comme présentant un risque de suicide ou souffrant de troubles mentaux - Femmes enceintes et allaitantes - Enfants de moins de 12 ans - Toute personne présentant des preuves d'une infection antérieure par le COVID IL Y A AUSSI BIEN D'AUTRES PRÉOCCUPATIONS. Il existe peu ou pas d'informations publiées sur les effets secondaires tardifs. D'autres vaccins ont été liés à l'apparition d'affections auto-immunes par exemple : - Le vaccin contre le VPH lié au syndrome de Guillain-Barré - Le vaccin contre la grippe porcine lié à la narcolepsie et à des problèmes neurologiques Ces conditions peuvent se développer des semaines, des mois ou même des années après la vaccination en l'absence de données de sécurité à long terme, il est impossible d'exclure ces conditions et d'autres effets secondaires potentiels à long terme, par exemple : - La stérilité - Les cancers - Les troubles neurologiques - Etc... Plusieurs cas d'allergie et d'anaphylaxie (allergie sévère) suite à la vaccination ont été signalés dans les médias, dans les premières semaines du lancement mondial du vaccin Pfizer. Ces cas PEUVENT être liés aux anticorps anti-PEG. Le 9 décembre 2020, les autorités de régulation britanniques, la MHRA, ont conseillé que toute personne ayant des antécédents d'anaphylaxie à déclenchement immédiat à un vaccin, un médicament ou un aliment ne devrait pas recevoir le vaccin Pfizer BioNtech. La possibilité de modification génétique de l'hôte (risque de transcription inverse de l'ADN à partir de l'ARNm du vaccin et d'incorporation dans le génome humain), les essais excluant spécifiquement l'analyse génétique. L'auto-immunité causée par des anticorps à réaction croisée induits par le vaccin et attaquant des protéines humaines présentant des similitudes avec la protéine de pointe du virus, par exemple la syncytine-1, une protéine clé du placenta, a une structure très similaire à la protéine de pointe, de sorte que les anticorps induits par le vaccin PEUVENT présenter une réaction croisée avec la syncytine-1, ce qui pourrait affecter fertilité. L'instabilité de l'ARN signifie que ce vaccin doit être manipulé avec précaution. Les lignes directrices pour les essais indiquaient qu'il "devrait être préparé et administré par un membre du personnel dûment qualifié et expérimenté". Il n'y a actuellement aucune donnée de Pfizer pour soutenir le mélange du protocole de deux doses avec d'autres vaccins Covid-19, bien que des essais britanniques soient prévus pour étudier cette option. Le Dr Mary Ramsay, responsable des vaccinations, a déclaré (3 janvier 2021) : "Nous ne recommandons pas de mélanger les vaccins Covid-19".
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